De nombreux messages me parviennent de France et de l’étranger , notamment d’expatriés qui, une fois à l’extérieur, ont une perception plus nette encore de notre pessimisme collectif.
Beaucoup me disent « refuser l’indignation, promouvoir le positivisme, lutter contre le déclinisme, le défaitisme, le pessimisme, c’est bien. Mais, après, il faut des actes ! ».
Je crois qu’ils ont raison. Mais, avant d’inventer des gestes, d’imaginer des événements, il faut concrétiser des comportements positifs, qui développent la confiance, incitent à l’optimisme.
J’en vois déjà quelques-uns :
- La civilité sur la route, dans les transports en commun, dans la rue (par exemple, le piéton qui fait un petit signe à l’automobiliste qui s’arrête pour le laisser passer), etc.
- Le respect, l’attention aux autres (par exemple en évitant les abus du téléphone portable dans les lieux publics, etc.)
- L’enthousiasme : se lever toujours du bon pied, voir le verre à moitié plein, considérer que positiver c’est effectivement contagieux, libérer une énergie personnelle qui crée un effet d’entraînement
- L’engagement : ne pas se contenter de râler, de s’indigner mais s’engager dans la vie associative, politique, syndicale
- L’entraide : s’investir dans une ou deux causes dans l’aide humanitaire dans son quartier, son pays, dans le monde
- La persévérance : face à la difficulté, ne pas chercher boucs-émissaires, ne pas s’enfermer dans la victimisation mais s’auto-analyser, décrypter ses erreurs, se mobiliser pour rebondir
Rendez-vous sur l’onglet dédié à ces commandements sur la page fan Facebook « Positivez. C’est contagieux. »
J’approfondirai ces points après, je l’espère, vos appréciations, vos critiques. J’ai besoin également de vos suggestions pour en définir d’autres. Je pense, par exemple, qu’il faut formuler un commandement autour de la vie professionnelle : comment être un bon collègue qui favorise un climat positif, ne pousse pas à la faute, partage ses connaissances et son savoir-faire, etc.
Voilà, je compte sur vous.
Répondez-moi vite.
Je continuerai ensuite à vous associer à cette réflexion et aux suites qui lui seront données.
Constituons ensemble l’aile marchante de l’optimisme en France.
Amitiés.